Dans la presse et les médias, du 1er au 6 mars 2011
Et, comme d’habitude, la petite liste de liens collectés pendant la semaine écoulée :
Sur « Politblog », le 2 mars 2011 : Les « chercheurs » se portent bien plus mal que la presse
Voilà une défense argumentée et ferme de la presse face à une étude mal ficelée. Cela ne dédouane pas complètement la presse de ses manquements actuels, mais incite à rester raisonnable. Ou à argumenter sur des faits concrets.
Sur Largeur.com, le 1er mars 2011 : Ces révolutions arabes qui embarrassent la droite suisse
Les réactions de panique de politique intérieure face aux révoltes dans le monde arabe ne laissent pas d’étonner.
Dans « L’Hebdo » du 3 mars 2011 : Le coût de la realpolitik
Kadhafi est fou, et vous ne le saviez pas ? Sacrifier ses valeurs et ses principes pour soigner ses petits intérêts a toujours un coup… plus tard. Quand saura-t-on au moins un peu apprendre de l’histoire ?
Sur « Rue89″, le 6 mars 2011 : Sondage : Marine Le Pen à 23% au premier tour ? Peu probable
Les sondages se multiplient et passent de plus en plus souvent pas la voie du clic électronique. Cela mérite de prendre un peu de recul, surtout plus d’un an avant les élections présidentielles. Mais cela « amuse » une partie des médias…
Dans « Le Monde » du 6 mars 2011 : Eduquer au XXIe siècle
L’enseignement d’aujourd’hui se fait grosso modo comme il y a un siècle. Mais savons-nous à qui nous enseignons ?
Bonne lecture !
Daniel
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8 mars, 2011 à 13:56
Concernant le papier de Th. Meyer sur le PolitBlog, j’y vois surtout le coup de sang du rédacteur en chef d’un quotidien qui a été (fautivement) négligé par l’étude en question. Globalement, ça me semble assez anecdotique, peut-être comme l’étude incriminée (que je n’ai pas lue)?
8 mars, 2011 à 14:12
Il est en effet possible que Thierry Meyer réagisse pour des raisons personnelles. De manière générale, j’ai pris le parti de lire ce que les gens disent sans trop m’interroger sur leurs raisons ni trop vouloir examiner s’ils font ce qu’ils disent. Ou plutôt, je le fais mentalement, mais sans l’écrire.
Dans le cas présent, il aurait pu se borner à ignorer cette étude. Il y actuellement floraison « d’études à la con » plus vaseuses les unes que les autres et j’imagine qu’il a chopé au passage celle qui lui semblait la plus lamentable. Je trouve que c’est de bonne guerre. J’avoue que certaines de ces « études » m’agacent aussi…